Séminaire Suisse 2014 – ProAudit Expertise
Un séminaire sur la promotion des Investissements directs étrangers entre la Suisse et la Tunisie a été organisé le 3 mars 2014 à Neuchâtel en Suisse…Read More
Un séminaire sur la promotion des Investissements directs étrangers entre la Suisse et la Tunisie a été organisé le 3 mars 2014 à Neuchâtel en Suisse…Read More
Ci dessous, vous trouviez les résultats de l’enquête de satisfaction lancée par ProAudit. Q1 – Vous avez eu recours à nos service, dans le cadre de ? Répondues : 26 Ignorées : 0 Q2 – Vous êtes un client ? Répondues : 26 Ignorées : 0 Q3 – Vous êtes client de ProAudit depuis ? Répondues : 26 Ignorées : 0 Q4 – Vous êtes devenus client de ProAudit par le biais ? Répondues : 22 Ignorées : 4 Q5 – Comment évalueriez vous la qualité globale de nos services ? Répondues : 25 Ignorées : 1 Q6 – Comment jugeriez vous la qualité des services qui vous sont rendus par les associés ? Répondues
La loi de finances pour la gestion 2014 ne sera pas passée inaperçue. Elle a vu le jour dans un climat politique des plus tendu. Controversé et critiqué, ce texte marque un tournant dans la politique fiscale du pays. Nous avons, essayé de simplifier tant que faire se peut, les principales mesures fiscales contenues dans la loi de Finances 2014. Cependant, ce document, ne prétend pas être exhaustif et sa lecture ne pourrait dispenser de la lecture du texte de base. Il s’agit plutôt, d’un résumé schématisé, visant à orienter le lecteur vers les mesures qui emportent son intérêt et qui sont en relation avec son activité, tout en précisant
Ceci est une présentation sur l’implantation des SSII en Tunisie, créer par la Société d’Experts Comptable ProAudit.
Le projet de la loi des finances 2014, qui devrait passer, incessamment, devant l’Assemblée nationale constituante (ANC), n’en finit pas de susciter des débats, tant sont nombreux ses détracteurs et ceux qui s’y opposent. Aujourd’hui, ni la loi des finances, ni le code de l’investissement, ne trouvent grâce aux yeux des Tunisiens. Un projet de loi suicidaire ! Des mesures en deçà des attentes ! Une classe moyenne menacée ! Les réactions de cette eau font florès. Dans une Interview accordée à Africanmanager, Mohamed Salah Ayari, Conseiller fiscal, et membre du bureau exécutif d’Al Joumhouri, a affirmé que le projet de loi des finances 2014 ne répond absolument pas aux
Lors de sa réunion, le Conseil a passé en revue les évolutions récentes de la conjoncture économique internationale au titre du deuxième trimestre de 2013, qui font ressortir une évolution positive du rythme de croissance dans la plupart des pays industrialisés, en comparaison avec le premier trimestre. Toutefois, les tensions géopolitiques ont contribué à la hausse des prix des produits de base, en particulier le pétrole brut, et à l’accentuation de la volatilité sur les marchés financiers internationaux. Concernant l’économie nationale, le Conseil a souligné l’amélioration du rythme de la croissance au cours du deuxième trimestre de 2013, compte tenu des dernières données publiées par l’Institut National de la Statistique
Ceci est une présentation sur la loi de finances pour la gestion de l’année 2013, créer par la Société d’Experts Comptable ProAudit.
Voici une document réalisée par l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur (FIPA) qui présente les coûts des facteurs de production appliqués en Tunisie (eau, assainissement, télécommunications, produits pértoliers, gaz naturel, éléctricité…).
COMMUNIQUE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA BANQUE CENTRALE DE TUNISIE RÉUNI LE 30 JANVIER 2013 Lors de l’examen des dernières évolutions de la conjoncture économique internationale, le Conseil a noté le ralentissement du rythme de la croissance de l’économie mondiale en 2012 avec un taux de 3,2% contre 3,9% une année auparavant et ce, en rapport, surtout, avec les retombées de la crise de l’endettement public dans la Zone Euro. Concernant l’année 2013, la Banque mondiale et le F.M.I ont révisé, en janvier courant, leurs prévisions du taux de croissance attendu pour l’économie mondiale à 2,4% et 3,5%, respectivement et ce, en raison du faible rythme de l’activité dans les pays industrialisés alors que